mardi 8 juillet 2008

Paris-Dar-Es-Salaam en passant par Doha : le voyage

Après quelques frayeurs sur le périph parisien, arrivée à CDG, je découvre "mon avion", Qatar Airway, jamais montée dans un avion aussi gros. En y entrant, je me suis dit, wouaaaah trop classe Qatar airway… c'était la classe affaire. Mais la classe éco c'était bien aussi. Le voyage s'est bien passé, rencontre avec une religieuse du Vietnam qui tient un orphelinat à Saigon. Atterrissage, depuis le hublot paysages lunaires, désertiques, chaleur étouffante en sortant de l'avion. Une ferrari sur le tarmac. Bienvenue au Qatar. 2e vol, premières vues sur l'Afrique, séquence émotion… Il fait chaud aussi à Dar-Es-Salaam, chaleur humide. Formalité visa comme une lettre à la poste (à Roissy, ils m'ont quand même fait une remarque sur ma tête de terroriste –rude ma photo de passeport-…), et retrouvailles avec Clo ! Elle est toute bronzée.

On m'aurait dit il y a 6 mois que je débarquerai en Tanzanie…

Mon premier dala-dala; sorte de minibus bondé, où il faut jouer des coudes pour en sortir, qui semble crapahuter sur les routes, nous menant cahin-caha à bon port. Enfin presque car on est descendues un peu trop tôt. Traversée de Dar-Es-Salam. Je suis en Afrique… C'est l'hiver, mais on dégouline (sexy). Pause à l'hôtel, avant de repartir pour le marché au poisson. C'est tout de suite beaucoup mieux sans le sac de 12 kilos sur le dos. C'est la fin de journée, toujours animé, beaux poulpes et coquillages. Bâteaux, pêcheurs sur le fleuve.

Un bout de l'océan indien.

Retour au centre pour remplir nos estomacs, on cherche du poisson, alléchées par les odeurs du marché, mais impossible à trouver -no fish-, on échoue dans un petit bui bui, à deux pas de l'hôtel, où ils nous proposent de la soupe, on ne sait pas trop à quoi. On ne le saura que trop vite, on dirait qu'on y a trempé des poils de bouc. On y trempe les lèvres, on essaie de persévérer mais non. On se rabat sur la viande. Et sur une Kilimanjaro, bière locale (on ne peut pas boire de l'eau –dixit guide du routard- c'est pour ça :p).

Rencontre avec des locaux, qui nous apprennent quelques mots de swahili. Retour à l'hôtel pour un gros dodo, sous la moustiquaire ! Pas si simple de dormir sous la moustiquaire… au petit matin, elle s'est fait la malle…

1 commentaire:

Anonyme a dit…

jajajajajjaajajaja
ca me fait bien rire t'as nouvelle boisson my baby!!!! :)
tu passe du martini a la biere!!donc je suppose qu'a ton retour tu aimeras cette délicieuse boisson!
!!!!1e changement!!!!